« Nous pouvons voir que nous avons établis nous-mêmes des liens particuliers avec les changements du soleil durant son parcours à travers les différentes constellations. Les signes du zodiaque sous lesquels nous venons, nous donnent, quand ils sont lus correctement, une indication de ce que sera l’état de la civilisation à tout moment donné, parce que les êtres qui établirent des liens particuliers dans le passé très lointain, sont simplement revenus, et ont repris ces liens et conditions similaires antérieures » Réponses aux questions sur l’Océan, R. Crosbie, chapitre XIV
« Tous les pouvoirs de l’univers sont latents en nous, il suffit simplement d’ouvrir la porte menant à leur utilisation. Chacun de nous est une petite copie de l’ensemble de l’univers. Il n’existe nulle part d’élément qui ne soit possédé par chacun de nous au sein de notre sphère propre ; il n’est pas de pouvoir auquel nous ne puissions recourir. Le régent de ces facultés est toujours le Soi inhérent à chacun de nous. » Cahier Théosophique n° 180, Les Vérités Eternelles, Les fondements de la religion, Robert Crosbie
« AGNI (sans.). Le dieu du feu dans le Véda ; le plus ancien et le plus vénéré des dieux de l’Inde. C’est une des trois grandes divinités Agni, Vâyu et Sûrya, et aussi toutes les trois, puisqu’il est le triple aspect du feu : dans le ciel comme le Soleil ; dans l’atmosphère de l’air (Vâyu) comme l’Eclair ; sur la terre comme le Feu ordinaire. Agni appartenait à la plus vieille Trimûrti védique avant que Vishnu n’occupât la place d’honneur et que Brahmâ et Śiva n’eussent été inventés. » Glossaire Théosophique
« Par la pratique de la concentration sur la bienveillance, la tendresse, le contentement intérieur et le désintéressement, l’ascète est capable d’acquérir à son gré l’amitié de quiconque. » Aphorisme du Yoga de Patanjali, Livre III verset 24, W.Q. Judge
« Qu’est-ce donc qui survit après la mort ? L’homme lui-même, avec toutes ses tendances, toutes ses expériences. Le Penseur, l’Âme, voilà ce qui survit, ce qui ne peut jamais s’éteindre, ce qui ne peut jamais soi-même souffrir, être impliqué ; ce qui est toujours de sa propre nature, quelles que soient les conditions où un homme puisse se trouver plongé au même instant. Conditions de joie ou de souffrance, elles ont forcément une fin ; alors que l’Être Un, qui se réjouit, souffre et éprouve des sentiments, ne change absolument pas. » Cahier Théosophique n° 182, Les Vérités Eternelles, Qu’est-ce qui survit après la mort ?, Robert Crosbie
« Quelle est donc finalement la panacée — le talisman royal ? C’est le DEVOIR, l’Altruisme. Le devoir que l’on suit avec persévérance est le yoga le plus haut, et vaut mieux que les mantrams, les postures ou toute autre chose. Si vous ne pouvez rien faire d’autre que votre devoir, il vous mènera au but. » Lettres qui m’ont aidé, livre II lettre I, W.Q. Judge
« Envisagée comme une philosophie, la Théosophie dans son œuvre pratique, est l’alambic des alchimistes du Moyen-Age. Elle transmute le métal apparemment vil de chaque croyance dogmatique et ritualiste (y compris le Christianisme), en l’or de la réalité et de la vérité, produisant ainsi véritablement une panacée universelle pour les maux de l’humanité. » Cahier Théosophique n°67, LA THÉOSOPHIE est-elle une Religion ? H.P. Blavatsky